mardi 31 mars 2009
Le Général de l'aberration !
Nous avions cru le Général se réveiller un jour sur l'importance que peut avoir un discours conciliateur, apaisant, serein, ré unificateur... Un discours d'un grand dirigeant, d'un Homme d'Etat comme il se plaît de se qualifier...
Or, le Général de Rabiyeh semble se plaire dans les petitesses surtout quand il va dire ne pas répondre mais répondre de trop à une jeune demoiselle, fille d'un grand martyr, petite-fille d'un grand homme du Liban, et qui s'appelle Nayla Gebran Ghassan Tueini.
Il a répondu par ce ton amusé sans être amusant faisant fi , par la méchanceté gratuite dans les propos, de toutes les éthiques, de toute l'indulgence, de tout le savoir-faire et de la bienséance quand on s'adresse à une jeune demoiselle, de grande qualité, et en plus peinée par la disparition tragique d'un père qui était après tout un de ceux qui ont soutenu, à tort - comme nous l'avons fait tous - les revendications d'antan d'un Général amnésique à volonté comme l'exigent ses petits intérêts politiciens.
Nous avions cru le Général un Général... pour le découvrir en train de se plaire dans les bas étages de la politique... là où il perdra sûrement ses plumes de coq un peu farfelu face à l'attitude ferme d'une demoiselle qui, par la vraie politique digne de l'héritage des deux Tueini, mettra peut-être fin, si non sans doute secouera la carrière politiquement malencontreuse d'un arriviste.
Les Grands Pirncipes de l'Histoire l'exigent ...
Le Sommet Arabe oscillant dans la honte entre le Bachir et le Bachar !
Je ne comprends pas pourquoi les arabes insistent à organiser des sommets ... Peut-être pour battre leurs propres records dans l'escalade vers les sommets de la Honte...
Omar Bachir à protéger ... de qui ? de quoi ? par qui ? et pourquoi ? peut-être aussi pour qu'ils soient à l'unanimité signataires de la décadence ...
Qu'on veuille le défendre ... Qu'on invite la cour internationale à réexaminer sa position ... Ou qu'on émette des réserves sur certains faits ... sont des façons qui peuvent être à la limite acceptables ... Mais qu'on décide simplement de le protéger contre une décision de justice internationale n'est que donner blanc seing d'avance à Mr Bachar El Assad qui dormira désormais paisiblement tellement il est convaincu d'avoir aujourd'hui obtenu un précédent inespéré.
Bref, entre un Mouammar Al Kadafi cynique , impoli, agressif et puis hypocrite pour dire ce qu'il a de haine sur le coeur et dans l'estomac et puis choisir , moins que 2 secondes plus tard , de faire la paix ... c'était tout simplement un cinéma sans faille .... et un Bachar qui jubilait de joie et de satisfaction et puis un Prince hôte qui disait la chose et son contraire ... nous avons eu droit à un cirque des plus attrayants et d'apparence gratuit ...
Sauf qu'il faut payer le prix autrement ! Car entre le Bachir et le Bachar le prix sera , croyez-le, très cher !
Inscription à :
Articles (Atom)